Sottomano ho solamente questo:
La peinture.
La bombe, maintenant complètement assemblée, est dirigée vers l'atelier de peinture. Elle y reçoit sur toutes ses faces, une couche de vernis bleu, à l'aérographe. La teinte utilisée est un bleu ciel tirant sur le gris de fer clair, assorti au bleu horizon des nouvelles tenues. Elle est ensuite suspendue dans un four étuve où elle sera soumise à une température de 120° durant 1 heure 30, au terme de laquelle la peinture aura séché et pris une teinte gris bleu clair.
Dans un premier temps les attributs sont montés en usine et peints avec le casque. Ensuite ils seront peints et livrés séparément.
A la sortie de l'atelier de peinture, les bombes sont réparties par lots, correspondant aux sous-tailles indiquées sur la commande. Le tour de tête correspondant est inscrit à la craie dans le fond. Il servira aux ouvriers qui en sont chargés, de mettre le marquage, les plaques ondulées et la coiffe adéquats. En effet les casques sortent d'usine entièrement terminés à leur pointure définitive.
Evolution de la peinture.
On se rend compte très vite que cette peinture est trop claire et trop brillante pour permettre une dissimulation efficace du porteur. Des casques sont alors repeints sur le terrain, à l'aérographe lorsqu'il y en a de disponible ou tout simplement au pinceau. De nombreuses peintures sont utilisées, non seulement militaires comme le gris artillerie destiné aux canons ou le gris de fer bleuté, mais aussi d'autres de récupération. Mais la plupart des hommes badigeonne son casque de boue, procédé efficace et adapté au terrain. Cependant le service de santé constate que les projections de boue séchée lors d'une blessure à la tête, facilite l'infection de la plaie. Le procédé est donc interdit et l'intendance distribue des couvre-casques en tissu. Le couvre-casque crasseux au bout de quelques temps est aussi nocif que la boue et il est interdit à son tour en 1916. Entre temps on a découvert qu'il suffisait de laisser la peinture plus longtemps dans le four pour qu'elle devienne plus mate et plus foncé. La cuisson est donc portée à 2 heures. Pour tous les casques produits antérieurement, de la peinture de caractéristiques équivalentes, est envoyée dans les corps de troupe où ils sont repeints.
Les troupes d'Afrique ont été dotées d'un uniforme kaki. Dans un premier temps elles perçoivent des casques bleus, qu'elles repeindront en kaki beige dit moutarde. Puis les casques seront produits directement en moutarde. La Coloniale et la Légion porteront un panachage de casques bleus et moutarde ainsi que les troupes du Levant.
Derniers avatars, les casques encore en service à la fin des années 30 seront repeints dans le même kaki que les casques Mle 26. Dans la Gendarmerie, ils seront repeints en noir dès les années 20.
Tratto da questa pagina che mi è sempre sembrata ben fatta (non esaustiva ovviamente)
http://world-war-helmets.com/fiche.php?q=C...s-Adrian-Mle-15Se c'è da aggiungere o correggere ben disposto ad apprendere!
Saluti
Luca